nous

Du grand cinéma engagé!!!  

Berlin Est, au milieu des années 80 (1984, année incontournable), , la stasi impose ses règles. Un agent de cette police politique est chargé par le Ministère de la Culture de mettre sur écouté un metteur en scène et son épouse.

Florian Henckel Von Donnesrsarck signe son premier film. Il restitue une vision fidèle au climat qui régnait en RDA avant la chute du mur : des quartiers sinistres, un urbanisme austère,des rues désertes. Il dénonce la rigidité, la corruption et l'abus de pouvoir des fonctionnaires de ce régime totalitaire, alliénés par l'idéal dictature prolétarienne.

La vie des autres est bien plus qu'un film sur la stasi ou l'atmosphère de l'époque en RDA, c'est une vision singuilère et authentique d'un homme en prise avec lui même, qui doit choisir entre obéir aux ordres ou désavouer ses supérieurs hiérarchiques. On retiendra la performance de Ulrich Mulhe dans le rôle de Wiiesler, chargé de surveiller le couple.

c'est un film puissant, doté d'une mise en scène subtile et  porté par des comédiens talentueux.

    du rêve ...à la réalité...  

 tant qu il ya de l amour ..tout est encore possible ..et surtout l envie de recommencer , renaitre..de manières différentes...

 un film drôle , plein d 'amour, d'émotions, de mouvement , de vie ...

une sacrée petite fille ...

une famille en vrille...qui se régénère en vivant une même galère....

ils se reconnaitront sans problèmes ...film trés réaliste ...drôle  ...et  triste...mais l'Amour triomphe !

     le chateau de la famille est en ruine

    ils n 'ont jamais travaillé 

            on n 'arrive pas à le croire ...

c 'est pourtant vrai.....

  de...de.......de de charlotte de Turckeim..

Il suffit d'une lettre en moins pour comprendre que ces histoires ne sont pas sans conséquences.

 (...) Il ne m'aime pas comme il faut. Il m'aime comme un fau-ve, un faux voeux. Il a fait le voeux du faux (...)

 Alice ne sait pas mentir et pourtant, elle ne dévoilera jamais sa véritable identité.

 Elle est donc une femme qui n'existe pas, comme un nom sur une pierre tombale.

 L'écrivain ne saisira d'elle qu'une fausse identité. 

  Lorsque le dermatologue lui demande à son tour de lui dévoiler son nom, elle lui crie son vrai nom mais il ne la croit pas. Elle ne veut pas de son argent même pour crier son faux nom.

Lui ne reconnait pas sa singularité (elle s'appelle Jane) mais c'est aussi la femme éternelle que l'on ne saisit pas, le mirage, l'illusion, La Femme, comme si elle les englobait toutes, la femme poupée, la femme objet, la femme du fantasme. Ce sera effectivement toujours une autre dans la mémoire au masculin, celle que l'on imagine dans ses rêves et qui peut s'appeler de tous les noms de la terre. Cela n'a pas d'importance pourvu qu'elle tienne son rôle d'amante.

  L'écrivain aime une illusion et l'appelle sa muse. Tout ce qui lui importe, c'est qu'elle ne cesse pas de l'être pour lui, lointaine et détachée de la réalité, mais cependant coeur et ame accrochés à lui et lui-seul. Quand il perd la poupée, il perd une belle pensée mais rien de plus...